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Revue de presse



Simon Marsden était à Paris du 24 au 26 octobre 2006 pour participer au lancement presse
de "La France hantée".

>> Entretien exclusif
avec Simon Marsden
et Erick Fearson
au Musée Gustave Moreau

>> ITW sur L'Internaute
>> Article dans Libération

>> L'avis de Télérama
>> Au JT de France 2

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Le photographe du mystère est de retour ! Le 2 octobre 2006, Simon Marsden publie chez Flammarion son nouveau recueil d’histoires de fantômes et de photographies de lieux hantés, La France hantée : Voyage d’un chasseur de fantômes.

De châteaux en cimetières, d'abbayes en donjons, de menhirs oubliés en forteresses isolées, il nous entraîne sur la piste de lieux insolites, au cœur de la France des légendes, un pays qui boude souvent - à tort ! - son propre patrimoine mystérieux. Près de soixante sites énigmatiques ont été répertoriés, visités et photographiés par ce spécialiste de l'étrange qui nous livre ses clichés au style incomparable, ses récits de rencontres réelles et irréelles, ses impressions parfois terrifiantes et ses anecdotes de voyage. De la Normandie à la Bourgogne jusqu'aux ruines cathares, en passant par la Bretagne ou les châteaux de la Loire, Simon Marsden signe un véritable carnet de bord, unique en son genre, à la découverte des secrets surnaturels de nos régions.

Un beau livre d’ores et déjà collector !

Par Olivier Valentin

La première confrontation avec une photographie de Simon Marsden est toujours un choc. Elle peut faire peur, fasciner ou passionner mais elle ne laisse jamais indifférent. Sans doute parce qu’elle ouvre une porte sur un autre monde. Elle rend visible l’invisible. Elle défie les lois de l’imagination et révèle l’étrange atmosphère du lieu qu’elle représente. Simon Marsden est un photographe mondialement reconnu. Mais c’est aussi un chasseur de fantômes hors pair. Voyageur de l’insolite, il visite les lieux mystérieux, collecte leurs légendes et imprime leurs secrets sur sa pellicule photographique. Son but n’est pas de prouver la réalité des phénomènes surnaturels mais d’en apporter la "substantifique moelle".

Depuis l’aube de l’humanité, notre patrimoine nous survit, laissant derrière chaque homme une trace indélébile de son passage. Les pierres racontent des histoires. Et lorsque Simon Marsden les photographient, elles s’animent. Témoins d’un passé agité, nos édifices nous trahissent. Telles des éponges imbibées de la passion des hommes, les ruines de notre histoire révèlent nos tragédies. Pourquoi un château est-il hanté ? Sans doute parce que le sang s’est mêlé aux larmes, que l’amour a pactisé, malgré lui, avec la mort et que la vie terrestre n’a pas achevé sa mission. Alors, le passé revient pour nous rappeler nos devoirs de mémoire. Dames blanches, vampires et autres créatures mythologiques surgissent ainsi d’outre-tombe pour veiller à la sauvegarde de notre patrimoine de l’imaginaire.

Parmi ces territoires fantastiques, la France n’est pas en reste. Certes elle n’est pas le meilleur élève à l’école des croyances mais certains Français semblent préserver la part de mystère qui sommeille dans leur région. Et Simon Marsden est allé à leur rencontre : « Ce goût si français pour le rationalisme renâcle à accorder une quelconque crédibilité au surnaturel. Pourtant, mes interlocuteurs n’ont pas refusé de débattre de la question et il m’est arrivé de rencontrer des personnes qui avaient eu une expérience directe du paranormal. »

Auteur de nombreux ouvrages de photographies sur des lieux hantés, Simon Marsden s’est forgé une réputation et un style qui le précèdent à chacune de ses expéditions. En bon détective, il prépare soigneusement ses enquêtes. C’est ainsi qu’il s’est rapproché de Maison-Hantee.com en 2004, et en particulier d’Erick Fearson, pour flairer quelques bonnes pistes sur la France mystérieuse. Jusqu’à ce jour d’avril 2005 où nous l’avons rencontré pour partager ses secrets, à l’occasion d’un délicieux dîner au restaurant. Bon vivant et fine bouche, Simon Marsden convie toujours la bonne chère et le bon vin aux bonnes tables de son voyage. Avec raison, il faut avoir l’esprit de château pour entrer en contact avec l’esprit du château !

Le lendemain, il se rend au Père-Lachaise pour un premier repérage, la nécropole parisienne devant être le point de départ de son périple. Bien entendu, il est hors de question de l’accompagner. Simon Marsden travaille toujours seul. Mais la solitude étant sa meilleure arme pour traquer les fantômes, il est souvent la proie de sentiments troublants…

La solitude, arme à double tranchant

Au Château de Carrouges, en Normandie, ou à celui de la Hunaudaye, dans les Côtes d’Armor, anciens théâtres de cruauté, il est victime d’étranges sensations, alors qu’il prend des photos, seul. Au Château de Rustéphan, en Bretagne, que Marsden eut beaucoup de difficultés à localiser, il est intimidé par le "calme sépulcral" qui règne dans ces ruines perdues au milieu des bois. Pour notre chasseur de fantômes, le silence est souvent un avertissement. Dans les tours de Largoët, au nord de Vannes, il trouve le décor "ensorcellement mais étrangement muet".

A l’instar de la porte cintrée qu’il photographie dans les vestiges de Rustéphan, ses clichés ouvrent des portes sur un autre monde : un lieu surnaturel peuplé de formes étranges qui sont tapies dans l’ombre et attendent notre regard pour surgir. Comme les Celtes, Simon Marsden croit à l’existence de ce monde parallèle, un univers spirituel que nous pouvons investir par notre inconscient, sorte de "sixième sens", si nous sommes suffisamment sensibles.

Il fera cette expérience, avec prégnance, dans la mythique forêt de Brocéliande. En outre, dans ces "atmosphères si singulières", il ne s’attarde pas. Il prend ses photos et échappe, in extremis, aux attaques sournoises du mystère.

A l’approche des tours d’Elven, à Largoët, il est victime de l’excitation qui gagne tout chasseur de fantômes : celle de pénétrer sur des terres inconnues, hostiles mais néanmoins merveilleuses, au bout desquelles nous sommes forcés d’aller dès lors qu’on y a posé le premier pas. « L’idée me traversa que je n’étais peut-être pas le bienvenu en ces lieux ».

Souvent, il se perd dans le dédale de routes et de chemins mal balisés. Comme aux abords du Château d’Alleuze, en Auvergne, il se dirige fréquemment vers un lieu hanté, sans y croiser âme qui vive. La route vers le mystère est plus semée d’embûches et de promeneurs égarés que de panneaux indicateurs et de sentiers tout tracés. Une histoire de fantôme se mérite ! A l’instar de l’alchimie, seuls les initiés trouvent la voie…

Il faut aussi avancer avec prudence dans des lieux accidentés, faute d’entretien. Au Château de Paluel, en Dordogne, ravagé par un terrible incendie pendant la Seconde Guerre Mondiale, le propriétaire met Simon Marsden en garde contre les planchers instables et les couloirs bloqués par des éboulis. Les lieux hantés résistent au temps mais n’assurent pas la sécurité de ses visiteurs. Une investigation de lieux hantés doit donc toujours être encadrée par des règles strictes.

Les visites les plus troublantes sont celles de lieux abandonnés, oubliés, disparus, que le chasseur de fantômes découvre à l’orée d’une forêt ou au sommet d’une colline, aux murs effrités par le temps et envahis par une végétation hostile. Véritables tombeaux ouverts, ces vestiges gothiques où le temps s’est arrêté, brisés par la mort et le chagrin, vibrent encore des drames du passé : « Au fil de toutes ces visites se développa en moi le sentiment persistant que, derrière l’authentique beauté des paysages et l’impressionnante majesté des édifices, se dissimulaient d’innombrables secrets, et que dans les plus obscurs recoins erraient des âmes perdues. »

Des aventures humaines avant tout !

Animé d'un vrai flegme anglais, Sir Simon Marsden sait créer le climat de confiance indispensable pour collecter des témoignages sincères.

Au Château de Lanquais, en Dordogne, la propriétaire fait une confidence au photographe : « Je n’évoque jamais ce genre de sujet, de crainte de passer pour une folle mais il m’arrive de sentir parfois la caresse d’une main sur ma joue ou mon bras, comme si quelqu’un essayait d’entrer en communication avec moi. » Ce profond respect de Marsden pour ses hôtes et leurs expériences du mystère est devenu l’une des clefs de son travail.

A Viverols, dans le Puy-de-Dôme, où plusieurs habitants du village, croisés par hasard, l’aident à orienter ses recherches, il sait habilement provoquer les rencontres fortuites. Signes du destin, elles finissent toujours par une bonne anecdote. Les chasses aux fantômes de Simon Marsden sont avant tout de passionnantes aventures humaines dédiées à la sauvegarde du patrimoine et à la mémoire des anciens. Encore faut-il aller au devant de ces gardiens de légendes.

Dans les allées gothiques du cimetière du Père-Lachaise, un gardien, qui ne demande qu’à être cru, lui fait des confidences…

A Chenonceaux, théâtre d’une rivalité féminine qui eut cours au temps d’Henri II, la conservatrice lui avoue « qu’il lui arrivait, ainsi qu’à ses collaborateurs, d’entendre des bruits de pas, une fois tous les visiteurs partis. Or, ils savaient qu’il n’y avait personne… ».

A la forteresse de Loches, dans la Vallée de la Loire, le guide fait remarquer au photographe que l’automne est la saison idéale pour découvrir le donjon et l’histoire macabre de ses prisonniers : « En hiver, le frisson de la mort y souffle littéralement ».

Au Château de Meillant, dans le Cher, la mère du propriétaire, Jeanne de Mortemart, « entendait souvent, dans l’aile gauche du château où elle vivait, des coups sourds ou des bruits de pas dans les escaliers, au beau milieu de la nuit… ». Son fils ne semble pas avoir hérité des mêmes dispositions devant ces phénomènes, même s'il reconnaît que la présence de nombreux passages et escaliers secrets, certains encore inexplorés, cultivent immanquablement l’imaginaire.

A Chastenay, en Bourgogne, le propriétaire, le comte Gabriel de la Varende, accepte la présence d’esprits autour de lui. Et lorsque des visiteurs avec qui il discute affirment apercevoir, derrière lui, un fantôme, en tenue du Moyen Âge, il les croit sur parole !

A l'exception de quelques sites comme Gisors ou Raray où il se heurte au scepticisme de leurs conservateurs, aucun lieu, ni secret ne résistent à Simon Marsden qui recueille les témoignages à l’encre "sympathique"...

Certaines personnes le mettent en garde, comme le propriétaire de sa chambre d’hôtes, à Salers, au cœur des volcans d’Auvergne. Ce dernier lui conseille de ne pas trop déterrer les vieilles histoires du passé : « J’ai appris d’expérience qu’il vaut mieux, parfois, ne pas fouiller trop avant dans le mystère des Templiers. Leur puissance n’est pas éteinte. »

A Montsaunès, dans le pays cathare, Marsden a de nouveau l’occasion d’éprouver, avec prudence, la fascination qu’exerce le mystère des Templiers sur notre civilisation actuelle, en particulier devant les fresques énigmatiques de l’église du village. Ses clichés donnent vie aux visages sculptés. D’ailleurs, le photographe voue un vrai culte aux statues, personnages de pierre, tellement vivants dans leur immobilité. Au Château de Combourg, il transfigure de son objectif la stature impressionnante de Chateaubriand "pétrifié" qui, chapeau à la main, toise les visiteurs de son regard vide et pourtant intense. Dans les lieux hantés, ce qui ne bouge pas fait peur... A Mirepoix, dans les Pyrénées, il photographie les sculptures médiévales qui ornent la maison des consuls : « Leur violence semblait refléter celle de l’époque qui les avait créées. Vues à travers l’objectif, leur visage grotesque et fantasque, à demi couvert de poussière, me parut soudain dissimuler quelque secret ancien. Ils semblaient littéralement se gausser des passants, les défiant de comprendre le mystère dont ils étaient les dépositaires. »

D’ailleurs, Marsden s’étonne souvent devant l’indifférence des promeneurs. Le monde court alors que les pierres fixent le temps. Elles semblent nous parler. Et pourtant, les gens n’écoutent pas. Pourquoi ?

La mélodie du mystère

Devant le Menhir de Guihalon ou ceux de Monteneuf, en Bretagne, il constate avec amertume le sort que nos contemporains ont réservé aux croyances de nos ancêtres : ils n’y accordent plus d’importance, « à nos risques et périls… » selon lui, alors que certains témoignages récents parviennent encore à raviver nos peurs. Les vieilles pierres, aux propriétés thaumaturgiques étonnantes, se laissent envahir par la mousse et la végétation. Cependant, l’énergie sacrée qui s’en dégage semble nous relier, d’un effleurement de la main, au savoir énigmatique des civilisations primitives. Sortes de puces électroniques du passé, les mégalithes auraient une mémoire. Voire une âme puisque les légendes en parlent comme des êtres humains transformés en pierre ! Or, ensorcelé par le chant des pierres, Simon Marsden est parvenu à « capturer sur sa pellicule une énergie spirituelle évoquant l’harmonie entre le visible et l’invisible – qui ne demande qu’à être redécouverte. »

La mort, elle aussi, est devenue un sujet tabou. Sauf pour les bretons, la culture celtique et Simon Marsden.

Soucieux d’éprouver par lui-même l’authenticité de certaines légendes, il n’hésite pas, quand il peut, à loger dans les lieux hantés.

Au Château d’Ainay-le-Vieil, au sud de Bourges, il reçoit un accueil très chaleureux du propriétaire et de sa famille : dîner aux chandelles, histoires et légendes de famille au coin du feu, nuitée en chambre d’époque,… L’imagination trouve son décor pour s’exprimer : « Je me sentais chez moi » confie-t-il.

A Veauce, dans l’Allier, il passe une nuit agitée dans l’une des chambres d’hôtes du château. La propriétaire lui rapporte différentes anecdotes concernant la présence de fantômes. Avec son compagnon, ils ne se lassent pas d’être les témoins de phénomènes déconcertants auxquels ils ne trouvent aucune explication rationnelle. Avec le temps, les propriétaires de châteaux hantés se sont habitués à côtoyer le surnaturel, au risque de le payer d’une réputation contestée. Avant de repartir, Simon Marsden fait une curieuse découverte sur le plancher de sa voiture, alors qu’il est persuadé de toujours la verrouiller…

Quand le fantastique fait irruption dans la réalité, défiant toute logique, l’épouvante est toujours au rendez-vous !

Rencontres d’outre-tombe

Signant la préface d’une anthologie de contes fantastiques, Jacques Bergier, grand amateur d’insolite, écrivait : « L’épouvante, c’est la rupture totale et inattendue avec les lois que nous croyons connaître, c’est l’apparition de phénomènes impossibles à classer, peut être issus d’un autre univers. »

En effet, au cours de son voyage, Simon Marsden a plusieurs fois l’occasion de mettre ses sens à rude épreuve.

A Largoët, dans le Morbihan, son toit de voiture est heurté, dès son arrivée, par une force invisible. Plus tard, au cœur des tours en ruine, il est témoin d’une effroyable apparition : « Là, dans un obscur recoin, une figure accroupie, aux longs cheveux emmêlés, me fixait de ses yeux vides ».

A Autun, au pied de la Pyramide de Couhard, ou au Château de l’Herm, en Dordogne, il a l’étrange sensation d’être observé… voire suivi ! Et il n’ose pas se retourner…

Devant les momies de Saint-Bonnet-le-Château, en Bourgogne, ou les ossements de l’église monolithique Saint-Jean à Aubeterre-sur-Dronne, en limite du Périgord, il éprouve un curieux malaise à les photographier.

Enfin, après certaines visites comme au château de Quéribus, au pays cathare, il est en proie à de terribles cauchemars…

A Randan, près de Clermont-Ferrand, Simon Marsden a l’impression de connaître le château, de l’avoir déjà visité du temps de sa prospérité, et même d’être familier des objets qu’il contenait autrefois. Pourtant, le château a brûlé accidentellement en 1925. Et le photographe n’était même pas né à cette époque. Il s’interroge alors sur la possibilité pour l’être humain d’hériter de la mémoire de nos aïeuls, conservée « comme un rouleau de pellicule » : « Que nous évoque, quand nous le prononçons, le mot fantôme ? Y voyons-nous l’esprit d’une personne disparue, son âme ? Un vestige ou la trace infime de quelque chose qui fut ? Quelles sont les raisons profondes qui font que telle maison ou tel lieu singulier seront hantés ? »

Les hantises sont souvent des histoires d’amour qui finissent mal… en général ! Les fantômes de femmes éplorées qui n’ont jamais pu vivre leur passion amoureuse avec sérénité ont donné naissance aux légendes des Dames Blanches. Nombreux sont les lieux hantés, comme Mortemer, Trécesson ou Veauce, qui possèdent leur propre Dame Blanche. Elles confirment la règle selon laquelle celle qui n’a pas réussi à accomplir son destin de son vivant revient d’outre-tombe pour reprendre sa tâche… en vain ! Alors la hantise est récurrente et symbolique. Simon Marsden est très sensible à la mélancolie de certains de ces lieux. En parlant du Château de Chastenay, dans l’Yonne, il écrit : « Jamais, je crois, je n’avais imaginé découvrir lieu aussi chargé de secrets et de mystère ».

D’autres lieux, même enchanteurs, vibrent encore des horreurs du passé : Carrouges et la malédiction de sa sorcière, Tiffauges et Champtocé avec Gilles de Rais, La Hunaudaye et son "goût" pour la mort, le Mont Saint-Michel et sa baie de sang, Azay-le-Rideau victime de la susceptibilité du Roi de France, etc. Simon Marsden ne compte plus les affaires criminelles qui rythment les histoires des châteaux de France : trahisons, conflits, tortures, meurtres, carnages, débauches,…

Il termine son voyage à Arles, ville de Provence où furent projetées ses photographies à l’amphithéâtre romain, à l’occasion d’un festival, dans les années 80. De retour au cœur de l’arène, il se plonge, par l’esprit, dans la peau d’un gladiateur jusqu’à retrouver l’ambiance sombre et oppressante des couloirs de la mort. Le photographe de l’étrange ne craint pas les phénomènes surnaturels. Au contraire, en bon chasseur, il aime les défier. Et à force de côtoyer le monde des spectres, il finit par se demander s’il n’est pas devenu lui-même un "homme hanté" ?

Ancien étudiant de la Sorbonne, Simon Marsden est très attaché à la France. Il y a douze ans, à l’occasion de son livre Journal of a Ghosthunter qui porte sur plusieurs pays d’Europe, il a déjà parcouru certaines routes mystérieuses de France. Pour la France hantée, il est revenu sur ses traces (Versailles, Couhard, Raray, Champtocé et Rennes-le-Château) pour les compléter et constater que le poids du passé n’avait pas pris la moindre ride. Cependant, hormis les anciens guides noirs publiés chez Tchou, il déplore le manque de références bibliographiques sur les mystères et légendes de notre pays.

Avec La France hantée : Voyage d’un chasseur de fantômes, le mal est réparé et la voie ouverte…

Thank you Sir !

O.V.

La France hantée : Voyage d'un chasseur de fantômes
Simon Marsden
Beau Livre Flammarion
140 photos inédites N&B, 192 pages
Prix éditeur : 40 Euros
Date de publication : 02/10/06

En savoir plus :

>> Le site officiel de Simon Marsden
>> Entretien et bibliographie (archives Maison-Hantee.com)
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